AC/DC a annoncé la mort de son guitariste Malcolm Young, âgé de 64 ans, et frère d’Angus Young, guitariste leader et charismatique du groupe.

Né le 6 janvier 1953 à Glasgow, il était le sixième enfant d’une famille écossaise émigrée à Sydney, qui en compte neuf.
Après une adolescence au son de Jerry Lee Lewis, Little Richard et Chuck Berry, il décide à vingt ans de former un groupe et enrôle son frère Angus, alors âgé de 14 ans mais déjà doté d’une personnalité explosive et d’une maîtrise des riffs de guitare.
Ils choisissent de s’appeler « AC/DC », comme le courant alternatif/courant continu (mais aussi en argot, l’expression « à voile et à vapeur »).

Voici l’article que j’écrivais il y a 3 ans pour la sortie de leur dernier album.

Le nouvel album « Rock or Bust » du groupe australien AC/DC est disponible depuis le 2 décembre dans les bacs. Dès les premières secondes, le style AC/DC est reconnaissable. Le riff de « Rock or bust » rappelle même instantanément un autre morceau du groupe, le mythique « Highway to Hell ». Avec son refrain accrocheur où Brian Johnson crie « In rock we trust, it’s rock or bust », la chanson s’affirme comme une célébration du rock’n’roll et de sa force. Une énergie musicale qui alimente le groupe depuis maintenant 40 ans. L’album lui-même est un hommage au rock puisqu’il contient 4 titres avec le mot rock. Le groupe a même poussé le concept jusqu’au bout en organisant le lancement de cette nouvelle galette dans la petite ville de The Rock en Australie.

Pour ceux qui l’auraient oublié… voici leur tube planétaire « Highway to hell » avec Bon Scott, leur premier chanteur, décédé en 1980.

L’album « Back in Black » (paru en 1980 en hommage à Bon Scott), reste le deuxième album le plus vendu au monde avec plus de 50 millions d’exemplaires écoulés, juste derrière l’album « Thriller » de Michael Jackson.

Un avant-goût de leur future tournée de concerts en 2015.

Pour les fans d’Iron Man au cinéma, chaque film comporte plusieurs morceaux d’AC/DC.

Une idée de cadeau pour Noël : AC/DC ayant toujours entretenu des relations privilégiées avec la France, Philippe Lageat et Baptiste Brelet ont uni leurs efforts afin de concevoir un livre retraçant cette « love story », du premier concert donné en 1976 au dernier, au Stade de France, en 2010.

Un livre de 712 pages pour 4 kilos, de format 23×30, renfermant plus de 1200 photos. Tous les concerts français d’AC/DC y sont passés en revue : billets, affiches, pass, documents rarissimes, memorabilia, etc., rien n’a échappé à ces deux fondus qui retracent le parcours du plus grand groupe de rock au monde et qui signent là l’ouvrage le plus complet (et le plus beau !) jamais consacré à AC/DC.