Retrouvez ici mes coups de coeur du moment que j’ai envie de partager avec vous.

« Birds of a feather » est le deuxième single officiel du troisième album « Hit me Hard and Soft » de Billie Eilish, auteure-compositrice-interprète américaine née le 18 décembre 2001 à Los Angeles, et co-écrit comme d’habitude par son frère Finneas.

Il s’inspire d’un proverbe anglais : « birds of a feather flock together » (à traduire par « les oiseaux de même plumage s’assemblent » ou « qui se ressemble s’assemble »), et permet à l’artiste d’évoquer ses sujets de prédilection : ici une magnifique déclaration d’amour à l’autre, et c’est certainement l’une des raisons du succès de ce titre.

En voici une version dépouillée, guitare, basse, batterie, où Billie chante sur la même ligne que ses choristes.

J’adore la sincérité et la simplicité de cette chanson qui n’est qu’apparente, comme le prouve cette video dans laquelle Billie et Finneas vous décortiquent la chanson.

Et vous pouvez retrouver sur arte.tv jusqu’au 15 décembre 2024 sa performance envoûtante sur la scène de l’O2 Arena de Londres lors de sa tournée « Happier than Ever » de 2022 aux côtés de son frère Finneas, musicien et producteur, et du batteur Andrew Marshall.

56 ans après Claude Nougaro et son célèbre « Ô Toulouse », Francis Cabrel sort un single hommage à la Ville rose.

Né à Astaffort dans mon Lot-et-Garonne natal (où il vit toujours entouré des siens), c’est à Toulouse que Francis Cabrel a chanté et enregistré ses premiers tubes dans les années 70 : « C’est un hommage à cette ville d’importance pour moi. Entre la rue Caraman et la rue Matabiau , j’y ai chanté et enregistré mes premières chansons. Quantité de personnages auraient pu et dû figurer dans le refrain mais faute de place, je les remercie ici et notamment Richard et Daniel Seff, Jean-Pierre Mader, Michel Art Mengo, Émile, Images et Gold confondus, tous ceux qui ont porté la chanson toulousaine au sommet derrière le grand Claude Nougaro, que tout le monde poursuit”, confie-t-il.

Et comme célébrer Toulouse sans parler rugby est impossible, Francis Cabrel a aussi convié Vincent Clerc (ancien joueur du Stade Toulousain et international) et Guy Novès (ancien entraîneur du Stade et de l’équipe de France de rugby), à participer à son clip. Autres illustres toulousains invités comme figurants, les rappeurs  BigFlo et Oli se sont volontiers prêtés à l’exercice. Jean-Pierre Mader, et Émile (chanteur du groupe Gold) figurent aussi au générique donnant au clip des allures de film de copains. 

Mais l’autre Claude dont parle aussi Francis Cabrel en nommant son ôde à Toulouse  « Un morceau de Sicre« , c’est Claude Sicre, un ami de longue date, et fondateur du groupe Fabulous Troubadours, groupe musical français formé à Toulouse en 1986; leur musique est rattachée au hip-hop et au ragga, métissage entre folklore occitan, rythme rap et tradition musicale brésilienne.

« Ce qui m’a fait plaisir c’est qu’il fasse une chanson sur Toulouse dont je suis le héros, c’est très sympa de sa part, confie l’intéressé flatté d’être ainsi mis en avant. Ce que je lui ai fait remarquer c’est qu’il y a très peu de chanteurs en France qui font des chansons sur d’autre musiciens. »

Le slameur Grand Corps Malade est à l’initiative de la collaboration avec ces deux artistes aux univers communs, Gaël Faye et Ben Mazué; ils se sont associés pour enregistrer un mini-album de sept morceaux intitulé « Éphémère » qui a vu le jour le 16 septembre dernier.

Chacun des textes témoigne de leurs expériences en tant qu’auteur-interprète ou parent, et, plus largement, de leurs vies : « En 2004, j’ai rencontré Gaël Faye lors d’une scène slam. En 2013 j’ai rencontré Ben Mazué lors d’un festival. On est devenu potes et chacun a développé ses projets. En avril dernier, on s’est enfermé ensemble pendant une semaine avec le défi de créer et d’enregistrer 7 morceaux. » explique-t’il.

Voici le premier extrait, « On a pris le temps », dont le clip nous permet de suivre le quotidien des 3 amis entre concerts, promos et interviews.

Sting, ex-leader du groupe Police, a réenregistré la chanson « Russians » qu’il avait créée en 1985 pour dénoncer, à l’époque, les répercussions de la Guerre froide qui sévissait à l’époque entre l’URSS et les puissances occidentales. Elle lui avait été inspirée par le visionnage d’une émission télévisée soviétique pour enfants; d’où les paroles qui chantent l’espoir que le peuple russe réagisse et ne se laisse pas faire face à l’idéologie soviétique : « Nous partageons la même biologie, indépendamment de l’idéologie. Croyez-moi quand je vous dis. J’espère que les Russes aiment leurs enfants aussi« .

37 ans plus tard, l’intervention russe en Ukraine a poussé Sting a réenregistrer ce morceau dans une version acoustique, à la guitare sèche simplement accompagnée du violoncelle de Ramiro Belgardt. Dans le message qui accompagne la vidéo de l’enregistrement, le chanteur anglais de 70 ans, lui-même père de 6 enfants et plusieurs fois grand-père, déclare : « Je n’ai que rarement chanté cette chanson au cours des nombreuses années qui ont suivi son écriture, car je ne pensais pas qu’elle serait à nouveau pertinente. Mais, à la lumière de la décision sanglante et terriblement malavisée d’un homme d’envahir un voisin pacifique et non menaçant, la chanson est, une fois de plus, un appel à notre humanité commune. Pour les courageux Ukrainiens qui luttent contre cette tyrannie brutale et aussi pour les nombreux Russes qui protestent contre cet outrage malgré la menace d’arrestation et d’emprisonnement. Nous, nous tous, aimons nos enfants. Arrêtez la guerre ! ».

Tous les profits des ventes de cette nouvelle version que le chanteur anglais reprend également sur scène seront reversés au Help Ukraine Center, un centre de stockage bénévole créé par des propriétaires d’entreprises ukrainiennes où l’aide humanitaire et médicale peut être envoyée depuis le monde entier.

Voici l’original de la mélodie qui a inspiré Sting, empruntée à une chanson populaire russe, « Le pigeon gris roucoule (Серый голубь воркнет) » : il s’agit de la Romance extraite du « Lieutenant Kijé », suite orchestrale composée en 1933 par le compositeur russe Sergueï Prokofiev (1891-1953).

OPUS 4212 est un duo d’artistes séparés par 4212 km entre France et Israël, composé de Marie-Edith Renaud, professeur de violon à l’Ecole de Musique de Genas et violoniste à l’orchestre des Pays de Savoie, ainsi que de Gerard Gahnassia, pianiste concertiste et directeur artistique des Clés d’Or, qui vit à Tel Aviv en Israel. Ils se sont rencontrés sur une plate-forme virtuelle et ont décidé de poursuivre leur aventure musicale au gré du temps… A suivre sur leur chaîne Youtube et leur page Facebook.

Voici leur version de « Libertango » d’Astor Piazzola, légendaire bandonéoniste et compositeur argentin qui a bousculé, transformé et modernisé le tango, et dont on fête le centenaire de la naissance.

Voici l’original par Astor Piazzolla lui-même, dans une version presque jazz-rock progressif, vraiment du tango d’avant-garde.

Les Glossy Sisters : nouvelle révélation de la scène lyonnaise, Lisa Caldognetto, Marion Chrétien et Claudine Pauly forment un trio de vocalistes respecté sur la scène jazz depuis mars 2014.
Leur premier album « Babillages » a marqué le début de leur carrière : lauréates du Crest Jazz vocal 2015, représentantes des « Divas du jazz » en 2018 lors de la soirée Jazz Magazine au Trianon de Paris.
200 concerts plus tard, après avoir sillonné toute la France, les Glossy Sisters nous reviennent avec « C’est pas des manières », un deuxième album de compositions originales, où les trois techniciennes vocales nous offrent un répertoire neuf, qui respire la modernité et la fraîcheur.

Voici « Danse », un extrait directement lié au thème de notre année chorale :

Elles nous ont présenté ce nouvel album le 9 février 2020 au théâtre Comédie Odéon de Lyon.

Vous aviez aussi pu les applaudir à l’Atrium de Genas le vendredi 24 novembre 2017, et j’avais eu la chance de jouer pour leur première partie avec le Big Band de l’Ecole de Musique de Genas, dirigé par Hugues Joriot.

Vous pouvez les retrouver sur leur site et leur chaîne Youtube.

Depuis sa chambre d’enfant, près de Rouen, Rilès connait un succès qui ne doit rien au hasard. Le rappeur de 23 ans est un artiste complet, autodidacte et indépendant. Il a tout appris sur YouTube et s’est fait connaître par le même canal en se lançant le 18 septembre 2016 le défi fou de publier pendant un an un titre par semaine, les « Rilèsundayz », à voir sur sa chaîne Youtube.

Durant 32 semaines, il ne s’est rien passé. Et puis un jour le youtubeur Seb La Frite a fait une vidéo « Coup de pouce » sur lui. Il passe alors de 20 000 abonnés à 300 000 en une semaine, et ses vidéos font près de 3 millions de vues dans la foulée. Les labels français et internationaux s’intéressent enfin à lui, et Rilès signe avec Republic Records à Los Angeles, un label d’Universal qui défend aussi Taylor Swift, Drake, The Weeknd ou Ariana Grande… Son premier album « Welcome to the jungle » est sorti le 30 août.

Voici une interview qui permet de mieux le connaître.

Et voici une video live extraite de son passage à Taratata en juin dernier, et qui préfigure ce que seront ses concerts avec musiciens et chorale.

A 22 ans à peine, Sigrid est l’une des figures montantes de la pop norvégienne, une des représentantes exemplaires de la « scandipop », autrement dit la pop venue tout droit de Scandinavie, reconnaissable par ses mélodies entraînantes et survitaminées.
Le 9 mars dernier sortait son 1er album « Sucker Punch » , une douzaine de tubes en devenir, à l’énergie communicative et qui, au bout du compte, nous restent en tête des heures après leur écoute.
Bien qu’elle remplisse des salles européennes sans se donner trop de mal, la chanteuse sait garder les pieds sur terre : là où certaines stars peuvent changer d’attitude et d’apparence pour se soumettre aux diktats hollywoodiens, ce n’est pas le cas de cette jeune prodige scandinave qui conserve – voire cultive – son côté girl next door, en témoigne sa simplicité vestimentaire et sa bonne humeur qui la rendent tout de go accessible.
A vous d’en juger dans cette version live de « Strangers » :

Pour son dernier clip, « Say Something », Justin Timbrelake (chanteur, compositeur, danseur, producteur et acteur américain né le 31 janvier 1981), a craqué pour les vidéos de la Blogo, site web d’information musicale et boîte de production basée à Paris, lancé en août 2003 sous forme de blog collectif, et devenu rapidement un média de référence spécialisé pour les fans de rock indépendant.
Le site est connu pour avoir créé les Concerts à Emporter, un format de vidéo musicale intimiste laissant une grande part d’improvisation aux musiciens. Le format a souvent été présenté comme la réinvention du clip musical à l’heure de l’Internet.
Retrouvez ici leur site : la blogotheque.
Dans ce clip, on retrouve le chanteur dans un plan séquence de six minutes et une session enregistrée totalement en live dans le Bradbury Building, un bâtiment historique de la ville de Los Angeles; à ses cotés, Chris Stapleton, chanteur et guitariste américain de musique… country.
Christophe Abric, l’un des deux boss de la Blogothèque, déclarait : « C’était un tournage de fou, avec 175 personnes sur le set, des musiciens de partout, et pourtant c’est resté une vidéo de la Blogothèque : un seul plan, tout en live, des musiciens incroyablement bons et ce mec au milieu, énorme star, super concentré, qui a tout compris à notre jeu. »
Le « Holy Shit » prononcé en fin de clip résume bien la performance de cette vidéo.

Eddy de Pretto est un auteur-compositeur-interprète et acteur français, né le 2 mai 1993 à Créteil, artiste hybride, mélangeant le rap à la chanson, déjà nommé aux Victoires de la musique 2018.
Visitez son site officiel pour faire plus ample connaissance.
Voici « Fête de trop » single extrait de son premier album « Cure » :

Gérald Toto + Richard Bona + Lokua Kanza = Toto Bona Lokua.
En choisissant le terme Bondeko (« fraternité » en Lingala) pour baptiser leur retour en trio, l’artiste martiniquais Gerald Toto, le bassiste camerounais Richard Bona et le multi-instrumentiste congolais Lokua Kanza ne pouvaient pas mieux afficher l’harmonie retrouvée qui s’échappe de leur nouveau projet collectif.
L’album est au confluent de multiples influences, principalement africaine et antillaise, avec beaucoup d’importance donnée aux voix – en créole, lingala et douala – et aux percussions.
Un projet atypique, et qui échappe à toute catégorisation : preuve en est avec « Ma Mama » à découvrir ci-dessous, le premier extrait dévoilé par le trio et qui dévoile une symbiose magnétique des voix, des langues et des rythmes partagés dans une fraicheur vivifiante par ces grands musiciens; un pur bonheur que j’espère pouvoir éprouver en concert bientôt…

Steven Wilson est un multi-instrumentiste, chanteur et compositeur britannique, généralement associé à la scène musicale progressive (nos 3èmes devraient comprendre ce que je veux dire…).
Leader du groupe de rock progressif Porcupine Tree, Steven Wilson enregistre ses premières chansons en solo en 2003 et le succès est au rendez-vous, si bien qu’une tournée mondiale démarre peu de temps après.
Après le remarqué “Hand Cannot Erase” en 2015, il vient de sortir son dernier album le 18 août 2017 “To the Bone”, dont voici deux extraits que j’apprécie particulièrement.
Il sera en concert au Transbordeur de Villeurbanne le mardi 6 février 2018.

Wyclef Jean est un chanteur, rappeur, guitariste, producteur et acteur haïtien né en 1969. À neuf ans, il emménage avec sa famille aux États-Unis, et devient membre du groupe The Fugees avec lequel il remporte trois Grammy Awards et compte 31 millions d’albums écoulés, dont le célèbre « Killing me softly » en 1996 :

En attendant de sortir « J’ouvert », son nouveau projet, il nous livre sa reprise du célèbre morceau de Jacques Brel, « Ne me quitte pas ».
Sur un clip en noir et blanc, Wyclef revisite parfaitement la chanson à sa façon; le morceau a pour lui une valeur particulière : « ma mère l’écoutait tout le temps et me disait que c’était la plus grande chanson d’amour jamais écrite en français. Cette version est d’abord un hommage à ma mère, ensuite au grand Jacques Brel et enfin à l’Amour ».

Pour ceux qui ne la connaîtraient pas, voici la version originale, écrite et enregistrée par Jacques Brel en 1959 :

Red Hot Chili Peppers est un groupe de rock américain formé en 1983 à Los Angeles mêlant des éléments de rock et de funk, avec des influences punk, metal et rap. En près de trente ans de carrière, le groupe a enregistré onze albums studio dont les plus vendus sont « Blood Sugar Sex Magik » et « Californication », sortis respectivement en 1991 et 1999. Ils ont vendu plus de 90 millions d’albums dans le monde et viennent de sortir leur dernier album, « The Getaway » le 17 Juin 2016 dont voici le premier extrait « Dark necessities » avec une rythmique basse-batterie irrésistible.

Drake est un chanteur de RnB, rappeur et acteur canadien né le 24 octobre 1986 à Toronto en Ontario. Son dernier album studio en date, « Views », raconte, notamment, son attachement à sa ville natale de Toronto, avec un premier grand succès, « Hotline bling », qui doit beaucoup à la chanson « Why can’t We Live Together », titre composé par Timmy Thomas en 1972.

Voici la version de Timmy Thomas, publiée en plein milieu de la guerre du Viêt Nam, véritable hymne à la paix, très dépouillé et enregistré à l’aide d’une simple boîte à rythme et d’un orgue Hammond.

Kirk Franklin est un artiste, compositeur, interprète et producteur de Gospel mêlant dans ses compositions autant un style pop, soul, hip hop, avec des touches de jazz et même quelques fois de rock.
Après 14 ans de carrière et récompensé de 5 Grammy Awards, Kirk Franklin est le premier artiste Gospel à vendre plus d’un million de cd pour son premier album « Kirk Franklin & The Family » et plus de 12 millions d’albums au total.

Rihanna, Kanye West et Paul McCartney réunis sur un même titre ?
Si l’union de ces trois artistes mondialement connus paraissait improbable, elle est pourtant bien réelle. Rihanna avait déjà collaboré avec le rappeur d’Atlanta, et c’est la toute première fois qu’elle travaille avec Paul McCartney.
L’ex-Beatles a composé la chanson et joue la partie de guitare de ce titre acoustique avec lequel Rihanna nous prend à revers. « Four Five Seconds » met effectivement la voix de la chanteuse en avant et tranche avec ses précédents tubes dance et R&B.

Mark Ronson est un producteur, guitariste, DJ et chanteur d’origine anglaise, artiste et cofondateur de Allido Records. Il a produit de nombreux albums et titres pour Robbie Williams, Lily Allen, Amy Winehouse, Adele, Christina Aguilera, Maroon 5, Nate Dogg, Duran Duran ou Kaiser Chiefs. Il vient de sortir son nouvel album avec un titre en collaboration avec Bruno Mars, « Uptown Funk ».

En voici une brillante reprise, avec des citations d’autres standards du funk.

« All About That Bass » est une chanson de l’artiste américaine Meghan Trainor, sortie le 2 juin 2014. Elle est incluse dans l’album également intitulé « Title » dont la sortie est annoncée pour janvier 2015. La chanson véhicule un message positif sur l’acceptation de soi et combat les préjugés sur les femmes rondes.

En voici une excellente reprise jazz par le groupe Postmodern Jukebox.

Lady Gaga va vous surprendre avec l’album « Cheek to Cheek », son cinquième album studio en duo avec le chanteur américain Tony Bennett de 60 ans son aîné, et dont c’est le cinquante septième album. Il s’agit d’un recueil de titres de jazz. Le projet fait suite à leur duo « The Lady is a tramp » paru en 2011 sur l’album de Tony Bennett « Duets II ». L’album fait l’unanimité du côté des critiques qui saluent toutes l’alliance de Lady Gaga et Tony Bennett. Voici le premier single « Anything goes » de Cole Porter.

Robert Plant, chanteur du groupe de Led Zeppelin, sort un nouveau disque, métissage élégant de rock, de blue-grass, de musique orientale et africaine, servi par sa voix envoûtante, magnifique.

« Get lucky » des Daft Punk repris en acoustique…

… et a cappella par le groupe Pentatonix